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David Bowie - Ashes to Ashes 1980  [1 réponse]




     

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(P) Buffy
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Imprimer Permalien jeudi 10 avril 2008 à 01:26    

[daylimotion]xph5g&v3=1&related=1"[/daylimotion]\r\n\r\n\r\nDo you remember a guy that's been \r\nIn such an early song \r\nI've heard a rumour from Ground Control \r\nOh no, don't say it's true \r\n\r\nThey got a message from the Action Man \r\n"I'm happy, hope you're happy too \r\nI've loved all I've needed love \r\nSordid details following" \r\n\r\nThe shrieking of nothing is killing \r\nJust pictures of Jap girls in synthesis and I \r\nAin't got no money and I ain't got no hair \r\nBut I'm hoping to kick but the planet it's glowing \r\n\r\nAshes to ashes, funk to funky \r\nWe know Major Tom's a junkie \r\nStrung out in heaven's high \r\nHitting an all-time low \r\n\r\nTime and again I tell myself \r\nI'll stay clean tonight \r\nBut the little green wheels are following me \r\nOh no, not again \r\nI'm stuck with a valuable friend \r\n"I'm happy, hope you're happy too" \r\nOne flash of light but no smoking pistol \r\n\r\nI never done good things \r\nI never done bad things \r\nI never did anything out of the blue, woh-o-oh \r\nWant an axe to break the ice \r\nWanna come down right now \r\n\r\nAshes to ashes, funk to funky \r\nWe know Major Tom's a junkie \r\nStrung out in heaven's high \r\nHitting an all-time low \r\n\r\nMy mother said to get things done \r\nYou'd better not mess with Major Tom \r\nMy mother said to get things done \r\nYou'd better not mess with Major Tom \r\nMy mother said to get things done \r\nYou'd better not mess with Major Tom \r\nMy mother said to get things done \r\nYou'd better not mess with Major Tom


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Imprimer Permalien jeudi 10 avril 2008 à 01:33    

Cela fait maintenant quatre décennies que David Bowie nous fait partager son talent. Sans jamais faillir, il a toujours produit une musique innovante et progressive. C'est le fruit d'un travail remarquable, d'une qualité rarement égalée dans l'histoire pourtant riche de la rock music.\r\nDavid Bowie revient aujourd'hui avec un coffret collector de dix CDs intitulé tout simplement "DAVID BOWIE BOX". On y retrouve ses cinq derniers albums studio, c'est-à-dire "Outside", "Earthling", "Hours", "Heathen" et "Reality". Chacun est décliné en deux CDs et propose des inédits, des remixes et des bonus, comme par exemple cette reprise des Kinks qui avait été ajoutée à l'album "Reality" en version SACD.\r\n\r\nDavid Bowie est un pseudonyme. C'est le nom d'artiste de David Robert Jones. David né à Londres, dans le quartier de Brixton, le 8 janvier 1947. Le premier groupe dont il fait partie s'appelle George & The Dragons. Il s'est formé à la Bromley High School où il étudie les arts graphiques. Il joue alors du saxophone ténor, un instrument auquel il est resté fidèle depuis cette époque.\r\n\r\n"C'est le seul instrument avec lequel je peux travailler à l'aise. C'est moi qui joue d'ailleurs toutes les parties de sax sur mes premiers albums. La dernière fois que ça m'est arrivé, c'était pour les sessions de 'Low' et de 'Heroes', je crois. Mais je m'y suis remis durant la dernière tournée de Tin Machine".\r\n\r\nAu cours de sa jeunesse, David est victime d'un accident stupide. Dans une bagarre avec son copain George Underwood, il est gravement blessé à l'œil gauche et sa pupille reste paralysée. Ses études terminées, il se tourne définitivement vers la musique. Il monte deux groupes, David Jones & The King Bees, puis the Manish Boys, avant de rejoindre The Lower Third, dont il devient le chanteur.\r\n\r\nEn 1966, David Jones signe comme artiste solo chez Decca. A cause de son homonymie avec le chanteur des Monkees, le groupe américain alors en plein succès, il change de nom et devient David Bowie. Avec l'arrivée du flower-power en Angleterre, le style de Bowie évolue. En 1969, "SPACE ODDITY" coïncide avec le premier vol Apollo vers la Lune. C'est un album brouillon, mais il possède une fraîcheur et une originalité qui porteront leurs fruits plus tard. "Space Oddity", où apparaissent les premiers signes de la métamorphose de David Bowie en rocker, atteint la cinquième place du hit-parade britannique.\r\n\r\nEn avril 1971, David Bowie enregistre "THE MAN WHO SOLD THE WORLD", que les critiques considèrent comme l'un de ses albums les plus aboutis. Bowie se cherche une image. Le travail de mime, qu'il a expérimenté dans la troupe de Lindsey Kemp, lui permet de mettre au point un jeu de scène qu'il est alors le seul à pratiquer dans le rock. C'est à cette époque qu'il se met à porter des tenues excentriques et qu'on peut le voir, par exemple, poser pour des photos revêtu d'une robe, en compagnie de sa femme Angie et de leur fils Zowie.\r\n\r\nEn décembre 1971, "HUNKY DORY" est l'album de la transformation. Il marque la naissance du rock décadent. David Bowie y rend un hommage appuyé à ses maîtres : Andy Warhol, Bob Dylan et Lou Reed. En juin 1972, il publie "THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST AND THE SPIDERS FROM MARS". L'image qu'il a voulu se donner est bien au point, et il est accompagné par un groupe résolument rock, les Spiders from Mars, emmenés par le guitariste Mick Ronson. \r\n\r\nAprès "Ziggy Stardust", David Bowie se tourne vers la production où il connaît une certaine réussite. Il produit ou co-produit par exemple "ALL THE YOUNG DUDES" de Mott The Hoople et le "TRANSFORMER" de Lou Reed, l'album qui contient "Walk on the wild side" et "Vicious". Mais, sauf pour Iggy Pop, il ne continuera pas dans cette voie, essentiellement par manque de temps.\r\n\r\n"J'aimais beaucoup la production. Le problème est que ça me prenait trop de temps sur mes autres activités. Et cela fait longtemps que je n'ai plus eu d'opportunité, parce que j'écris beaucoup et que je veux continuer à faire mes propres disques. Je ne pense pas avoir le temps. Mais il y a quelques groupes qui m'intéressent. Je pense à Suede qui est très bon."\r\n\r\nLorsqu'il revient avec "ALADDIN SANE", en avril 1973, David Bowie est encore à moitié hard-rock, mais il lorgne déjà vers un autre style, plus proche du cabaret de ses débuts. Dédié à son ami Iggy Pop, le titre "The jean genie" s'impose comme un classique. \r\n\r\nPour se faire plaisir, David Bowie enregistre alors "PIN-UPS". C'est un album qui paraît en octobre 1973 et qui est uniquement composé de reprises de morceaux qu'il aime bien, une sorte d'hommage à la pop music des années soixante. Tous ces vieux succès sonnent différemment des originaux, mais ils ne sont jamais trahis ni méconnaissables.\r\n\r\n"J'ai essayé des choisir les chansons qui s'imposaient à moi quand j'allais en club ou en boîte à cette époque. Et j'ai enregistré ces titres parce qu'ils signifiaient quelque chose pour moi. C'était ceux de mes groupes favoris comme les Kinks, les Who, les Pretty Things et Pink Floyd, mais du temps de Syd Barrett."\r\n\r\nEn juillet 1973, au cours d'un show à l'Hammersmith Odeon de Londres, David Bowie annonce qu'il a décidé de ne plus se produire sur scène. Ce n'est évidemment qu'une fausse sortie et il reviendra très vite. En avril 1974, il propose "DIAMOND DOGS", un disque où apparaît un nouveau guitariste, Earl Slick, que l'on retrouvera un peu plus tard sur le double album "DAVID LIVE".\r\nLa tournée américaine qui vient de se terminer montre que Bowie délaisse un peu le rock pour se rapprocher du rhythm & blues et de la soul music. Cette tendance se confirme en mars 1975 avec "YOUNG AMERICANS", un album enregistré à Philadelphie. Co-signé par John Lennon, le titre "Fame" est le premier N°1 américain de David Bowie. Il est à l'image du reste de l'album, un panachage de disco-soul et de rock. David évoque sa rencontre avec John Lennon.\r\n"Une nuit à New York, on était en train de jammer dans le studio, et il est arrivé. On a joué et, je ne peux dire pourquoi, la chanson a pris vie. Je ne sais pas comment ces choses-là fonctionnent. C'est comme une sorte d'alchimie. Je ne sais pas."\r\n\r\nEn janvier 1976, "STATION TO STATION" est réalisé sur le même principe, dans la même veine "soul" que "Young americans". C'est un des meilleurs albums de l'année 76, un des meilleurs disques de David Bowie qui bouleverse alors son emploi du temps pour retrouver le cinéma. Nicholas Roeg lui offre un premier rôle digne de ce nom dans "l'Homme qui venait d'ailleurs".\r\n\r\nDavid Bowie entame l'année 1977 avec "LOW", un album caractérisé par une nouvelle ambiance qui prend place dans un décor neuf, Berlin, une ville qu'il a également choisie comme lieu de résidence par souci d'anonymat. C'est le début d'une collaboration avec le guitariste Robert Fripp et surtout avec le clavier Brian Eno.\r\n\r\n"Ce fut mon premier travail avec Brian Eno, notre première collaboration. Nous voulions expérimenter les sons nouveaux que nous entendions en Europe, une combinaison d'instruments traditionnels et électroniques. Ma première rencontre avec Brian date de 72, alors qu'il était avec Roxy Music. Je crois que nous avions toujours eu l'envie de travailler ensemble et l'opportunité s'est présentée à ce moment-là. Ça s'est fait naturellement. Nous voulions tous les deux créer une musique similaire, qui ne doive rien au punk et qui n'aie rien à voir avec ce qui se faisait à l'époque".\r\n\r\nEn octobre 77, entouré de la même équipe, David Bowie publie "HEROES". Le titre générique se révèle comme l'une de ses meilleures compositions depuis des années.\r\n\r\nEn septembre 1978, David Bowie propose "STAGE". C'est un double album enregistré en public, qui propose une agréable balade dans son répertoire. Au cinéma, on peut le voir dans "Just a gigolo", au côté de Marlene Dietrich, dont ce sera le dernier rôle.\r\nEn avril 1979, "LODGER" se présente comme le dernier volet de la trilogie amorcée avec "Low" et "Heroes". C'est l'aboutissement de la collaboration de David Bowie avec Brian Eno. Caractérisés par des sons futuristes, froids, répétitifs et métalliques, ces trois disques sont marqués par un feeling au service d'une réflexion sur les temps modernes.\r\n\r\nLes années 80 commencent et David Bowie, qui vient de boucler un cycle musical avec sa trilogie berlinoise, marque une pause. En septembre 1980, "SCARRY MONSTERS & SUPER CREEPS" montre que le musicien s'est fait plus discret pour permettre à l'acteur de se manifester. Le clown blanc que Bowie interprète dans la vidéo de "Ashes to ashes" va prendre de l'ampleur. Au cours de l'hiver 80-81, il fait des débuts très remarqués au théâtre, à Broadway, où il tient le rôle principal dans "Elephant man". Le public et la critique, unanimes, saluent sa performance.\r\n\r\n"Je pense que je devais être plutôt bon, car au théâtre, les gens se lèvent et s'en vont si ce qu'ils voient ne leur plaît pas. Je crois donc pouvoir dire que c'était un bon spectacle. L'histoire est si prenante, si tragique. J'ai aimé ça, mais je ne crois pas que je le referai, car j'ai fini par vraiment m'ennuyer. J'ai joué la pièce sept mois d'affilée et c'était trop long. Deux mois m'auraient suffi."\r\n\r\nEn novembre 1981, le single "Under pressure" est le résultat d'une association éclair et plutôt inattendue entre David Bowie et le groupe Queen. Même si l'expérience est diversement appréciée, "Under pressure" se retrouve N°1 en Angleterre et grimpe jusqu'à la vingt-neuvième place dans les charts américains. \r\n\r\nDe retour au cinéma, David Bowie joue son propre rôle dans le film "MOI, CHRISTINE F., DROGUÉE, PROSTITUÉE", dont la bande originale reprend plusieurs de ses compositions. En 1982, il incarne le vagabond dans une adaptation télévisée du "BAAL" de Bertolt Brecht. A l'automne suivant, il tourne "Merry Christmas, Mister Lawrence" (rebaptisé "Furyo" pour la version française). On peut le voir ensuite dans "les Prédateurs", où il a Catherine Deneuve comme partenaire.\r\nDavid Bowie revient à la musique avec "LET'S DANCE" en avril 1983. L'album propose une musique moins sophistiquée, plus directe et plus simple, une musique à danser où l'élégance est toujours présente. Co-produit sur mesure par Nile Rodgers et avec Stevie Ray Vaughan à la guitare, "Let's dance" connaît un succès mondial. Depuis ses débuts, c'est la plus grande réussite commerciale de Bowie.\r\n\r\n\r\n\r\n"TONIGHT", dont le titre générique est interprété en duo avec Tina Turner, paraît en septembre 1984. C'est un album qui ne délivre aucun message et qui ne met en scène aucun personnage. C'est un amalgame de chansons variées qui abordent des styles aussi différents que la ballade, le reggae, le rock et le pop rock. David Bowie ne s'y montre pas aussi novateur que par le passé, mais il montre tout de même qu'il continue d'occuper une place importante dans la rock music.\r\n\r\nDe nouveau, la musique et le cinéma se retrouvent sur le chemin de David Bowie. En février 85, il interprète "This is not America", la chanson du film "la Nuit du faucon", où il est accompagné par le groupe du guitariste de jazz Pat Metheny. Bowie prouve ainsi qu'il sait encore surprendre et il n'en reste d'ailleurs pas là. Un duo avec Mick Jagger, la reprise de "Dancing in the street", paraît en août 85. La vidéo de ce titre avait été présentée en exclusivité lors du concert du Live Aid, le 13 juillet précédent.\r\nEn 1986, on retrouve David Bowie au générique de quatre films. Dans "Série noire pour une nuit blanche", il est uniquement acteur. Dans "ABSOLUTE BEGINNERS", il joue sur les deux tableaux, musique et comédie. Même chose pour "LABYRINTH", où il incarne Jareth, le roi des esprits malins, et dont il a composé une grande partie de la musique. Enfin, pour le film "WHEN THE WIND BLOWS", Bowie n'est que musicien.\r\n\r\nAprès une large parenthèse consacrée au cinéma, David Bowie rentre chez lui, en Suisse, où il s'attelle à la réalisation d'un nouvel album. Annoncé par le single "Day in, day out', l'album "NEVER LET ME DOWN" paraît avril 1987. Bowie remonte aussitôt sur scène pour le "Glass Spider Tour", avec un nouveau guitariste qui n'est autre que Peter Frampton.\r\n\r\n"Tout le monde sait que Peter Frampton était à l'école avec moi et que son père était mon prof de dessin, ce qui n'est guère à l'avantage du père au vu de mes peintures. Peter avait la même approche des choses que moi. En plus, il jouait très bien de la guitare et moi, justement, j'aurais toujours aimé qu'on me considère comme un guitariste. Hélas, il y a eu un moment dans sa carrière où l'intérêt s'est plus porté vers sa belle gueule. Et les gens ont oublié qu'il était un excellent guitariste."\r\n\r\nEn 1988, David Bowie incarne Ponce Pilate dans le film très controversé de Martin Scorsese, "la dernière Tentation du Christ", un rôle qui avait été refusé par Sting.\r\n\r\nA ce moment, David Bowie réapparaît au sein d'un groupe, Tin Machine, une entité démocratique dont il n'est qu'un élément, selon ses dires. Trois albums sont enregistrés : "TIN MACHINE" en 89, "TIN MACHINE 2" en 91 et un live, "OY VEY BABY", en 92. Mais les résultats sont décevants et Tin Machine s'arrête, faute d'avoir convaincu.\r\n1992 est une grande année pour David Bowie, mais sur le plan personnel. Le 24 avril, à Lausanne, il épouse civilement le top model d'origine somalienne Iman, au cours d'une cérémonie discrète qui contraste avec le faste du mariage religieux qui sera célébré le 13 juin à l'église épiscopale Saint-James de Florence.\r\nCe n'est qu'en avril 93, c'est-à-dire six ans après "Never let me down", que paraît le nouvel album solo de David Bowie, "BLACK TIE WHITE NOISE". Nile Rodgers, qui avait pris une part prépondérante dans la réussite de "Let's dance", est de retour à la production. Interviewé à l'époque, Bowie assurait que ces retrouvailles n'avaient rien d'opportuniste.\r\n\r\n"Ce n'était pas prémédité. Nile est venu voir Tin Machine à New York deux soirs de suite l'an passé. C'était à la fin de la tournée. On a parlé et nous nous sommes redécouverts des vues communes en ce qui concernait le futur. C'est donc tout naturellement que nous nous sommes retrouvés en studio ensemble".\r\n\r\n"Black tie white noise" marque aussi les retrouvailles de Bowie et de Mick Ronson, des retrouvailles en forme d'adieu puisque quelques jours après la sortie de l'album, le 30 avril 93, le guitariste des Spiders from Mars mourra à Londres, des suites d'un cancer du foie.\r\n\r\nEn novembre 93, David Bowie surprend avec "THE BUDDAH OF SUBURBIA", où sont regroupés des inédits composés spécialement pour la série télévisée qui porte le même titre. A côté du thème principal où Lenny Kravitz joue de la guitare, Bowie a composé plusieurs instrumentaux qui laissent présager un retour à une musique nettement plus aventureuse.\r\nLes deux derniers albums de David Bowie parviennent à convaincre Brian Eno de retravailler avec le chanteur. Cette nouvelle collaboration se concrétise en septembre 95 avec l'album "OUTSIDE". C'est une œuvre ambitieuse où se mêlent néo-classique, cyber-jazz, techno et pop d'avant-garde. Elle sert d'illustration sonore au journal intime d'un détective, Nathan Adler, que l'on suit tout au long d'une enquête qui le mène de 1977 à l'aube du 21ème siècle.\r\n\r\nDavid Bowie a retrouvé la fièvre créatrice. A Londres, il présente une rétrospective des tableaux qu'il a peints en vingt ans et il crée une ligne de papier peint pour Laura Ashley. De retour au cinéma, il incarne Andy Warhol dans "Basquiat", le film de Julian Schnabel. \r\nLe 8 janvier 1997 au Madison Square Garden à New York, David Bowie fête son cinquantième anniversaire au cours d'un grand concert où il a invité Frank Black, Sonic Youth, Robert Smith des Cure, Billy Corgan des Smashing Pumpkins, les Foo Fighters et Lou Reed. \r\nL'album "EARTHLING" paraît le 30 janvier 97. Il confirme le regain de créativité musicale de David Bowie. Sous l'influence de groupes comme Underworld ou The Prodigy, il n'a pas hésité à mélanger le rock et les rythmes actuels. "Pour moi, explique-t-il, la techno est aussi excitante que l'ont été le reggae ou le rhythm and blues en leurs temps. C'est un vocabulaire nouveau et merveilleux avec lequel je peux jouer et c'est pour ça que je l'adore".\r\n\r\nToujours en 1997, David Bowie collabore avec le groupe Placebo pour une nouvelle version de leur single "Without you, I'm nothing". Il publie ensuite "HOURS", un travail qui montre un retour à un certain classicisme. Il renoue en effet avec un style de compositions qui fait immédiatement penser à ce qu'il faisait au début des années 70. C'est cette même période du début des années 70 qui est à l'honneur sur "BOWIE AT THE BEEB", qui paraît à l'automne 2000. C'est un double CD qui réunit 37 titres "live" restés inédits jusqu'alors, et qui avaient été enregistrés pour la BBC entre 1968 et 1972. \r\nEn décembre 2001, David Bowie annonce qu'il quitte Virgin et que son prochain album sortira sur son propre label, Iso Records, distribué par Columbia. "HEATHEN" paraît le 11 juin 2002. Bowie, qui a rappelé son vieux complice Tony Visconti à la production, se présente à son meilleur niveau et propose un album de grande classe.\r\n\r\nToujours épaulé par Tony Visconti, David Bowie propose "REALITY" en septembre 2003. C'est un album simple et direct où le public retrouve avec plaisir le Bowie classique qu'il apprécie. Le chanteur embarque alors pour le "Reality Tour". Victime d'une petite attaque cardiaque, il doit interrompre la tournée en juin 2004 pour subir une angioplastie. Le DVD "A REALITY TOUR" paraît en octobre 2004. Il reprend deux concerts donnés à Dublin en novembre 2003. \r\nDavid Bowie réapparaît ensuite sur deux bandes originales de films : d'abord sur "Shrek 2", puis sur celle de "Furtif". Le 8 février 2006, il est honoré par les Grammies qui lui décernent un "Lifetime Achievement Award" pour l'ensemble de sa carrière.\r\n\r\nDavid Bowie a décidé de faire une pause dans sa carrière. En mai 2006, au Royal Albert Hall de Londres, il remonte toutefois sur scène aux côtés de David Gilmour pour interpréter deux classiques de Pink Floyd : "Arnold Layne" et "Comfortably numb".\r\nIntitulé "DAVID BOWIE BOX", le coffret collector qu'il vient de publier revient sur les cinq derniers albums de sa carrière, c'est-à-dire "Outside", "Earthling", "Hours", "Heathen" et "Reality". Chaque album est augmenté d'inédits, de remixes et de bonus. Ce coffret de dix CDs est un beau cadeau pour tous les admirateurs de David Bowie, un des derniers dinosaures de la rock music.\r\n\r\n\r\n\r\n\r\nDISCOGRAPHIE :\r\n\r\n- "DAVID BOWIE" (album – 1967)\r\n- "SPACE ODDITY" (album – 1969)\r\n- "THE MAN WHO SOLD THE WORLD" (album – 1971)\r\n- "HUNKY DORY" (album – 1971)\r\n- "THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST AND THE SPIDERS FROM MARS" (album – 1972)\r\n- "ALADDIN SANE" (album – 1973)\r\n- "PIN-UPS" (album – 1973)\r\n- "DIAMOND DOGS" (album – 1974)\r\n- "DAVID LIVE" (live album – 1974)\r\n- "YOUNG AMERICANS" (album – 1975)\r\n- "STATION TO STATION" (album – 1976)\r\n- "CHANGESONEBOWIE" (compilation – 1976)\r\n- "LOW" (album – 1977)\r\n- "HEROES" (album – 1977)\r\n- "STAGE" (live album197 smiley s8g29g.gif \r\n- "LODGER" (album – 1979)\r\n- "SCARY MONSTERS AND SUPER CREEPS" (album – 1980)\r\n- "MOI, CHRISTINE F., DROGUÉE, PROSTITUÉE" (B.O. – 1981)\r\n- "UNDER PRESSURE" (single – 1981)\r\n- "CHANGESTWOBOWIE" (compilation – 1981)\r\n- "BAAL" (mini album – 1982)\r\n- "CAT PEOPLE (PUTTING OUT FIRE) (single – 1982)\r\n- "PEACE ON EARTH" / "LITTLE DRUMMER BOY" (single avec Bing Crosby" – 1982)\r\n- "ZIGGY STARDUST – THE MOTION PICTURE" (live album – 1983)\r\n- "LET'S DANCE" (album – 1983)\r\n- "TONIGHT" (album – 1984)\r\n- "THIS IS NOT AMERICA" (single – 1985)\r\n- "DANCING IN THE STREET" (single avec Mick Jagger – 1985)\r\n- "ABSOLUTE BEGINNERS" (BO – 1986)\r\n- "LABYRINTH" (BO – 1986)\r\n- "WHEN THE WIND BLOWS" (single – 1987)\r\n- "NEVER LET ME DOWN" (album – 1987)\r\n- "SOUND + VISION" (coffret – 1989)\r\n- "CHANGESBOWIE" (compilation – 1990)\r\n- "REAL COOL WORLD" (single – 1992)\r\n- "BLACK TIE WHITE NOISE" (album – 1993)\r\n- "THE BUDDAH OF SUBURBIA" (BO TV – 1993)\r\n- "THE SINGLES COLLECTION" (compilation – 1993)\r\n- "SANTA MONICA '72" (live album – 1994)\r\n- "OUTSIDE" (album – 1995)\r\n- "EARTHLING" (album – 1997)\r\n- "I CAN'T READ" (single - 1997)\r\n- "WITHOUT YOU I'M NOTHING" (single avec Placebo – 1999)\r\n- "HOURS" (album – 1999)\r\n- "LIVE AT THE BEEB" (live album – 2000)\r\n- "BEST OF BOWIE" (compilation – 2002)\r\n- "HEATHEN" (album – 2002)\r\n- "CLUB BOWIE" (compilation remix – 2003)\r\n- "REALITY" (album – 2003)\r\n- "A REALITY TOUR" (DVD – 2004)\r\n- "THE PLATINUM COLLECTION" (compilation – 2005)\r\n- "THE BEST OF DAVID BOWIE 1980-1987" (compilation – 2007)\r\n- "DAVID BOWIE BOX" (coffret – 2007)\r\n\r\n\r\n\r\nEdité Jeudi 10 avril 2008 :01:35 par Buffy


buffy
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David Bowie - Ashes to Ashes 1980  [1 réponse]




     


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